dimanche 21 février 2010

Conclusion.

On peut finalement admettre que les effets spéciaux manuels du King Kong de Cooper ont eu de meilleures critiques pendant les années 30 car les spectateurs ont été plus touchés par le film, malgré le réalisme des effets spéciaux numériques des années 2000. La modélisation ne remplace pas le réel même si elle s’en approche de très près.

Le personnage de King Kong a évolué dans sa façon d’être. Jackson a fait d’une bête sanguinaire et dévastatrice, une bête qui touche les spectateurs de par son regard et ses sentiments envers Ann Darrow. Il est affectueux et protecteur. Jackson ne dénature en rien l'œuvre d'origine, rendant au singe toute sa splendeur grâce aux techniques d'aujourd'hui. Ce gorille mythique a également évolué dans sa fabrication, ce sont les avancées technologiques qui font qu’il est présenté différemment.
On peut remarquer que dans le film de 1933, le réalisateur a dû faire appel à des méthodes telles que les maquettes ou les figurines pour le personnage de King Kong. Ces techniques ont permis une réalisation efficace pour les années 30, alors que Peter Jackson a fait appel à la modélisation 3D. La bête est passée du trucage manuel au trucage numérique, du bois et du métal à l’ordinateur et aux capteurs.


Sources : http://commeaucin%c3%83%c2%a9ma.com/

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire